Les épis rougeoient au soleil et dodelinent de la tête au grès du vent. L’un d’eux un peu trop lourd se courbe légèrement et souffle.
Une main s’écrase au milieu de tout ce calme et fait chavirer les épis. Elle sert quelques tiges entre ses doigts puis les relâche. Un long frisson circule dans tout son bras. La peau pas assez blanche pour être bronzée se monticule de petits points et puis s’apaise. Il la caresse, chassant les tiges de ses doigts pour y glisser les siens puis d’un seul mouvement remonte le long de sa peau qui frémit encore. Il trace ainsi l’angle de son épaule, butte contre la dernière bretelle, et l’embrasse. La peau est chaude et légèrement salée. Le soleil inonde leur lit entre les blés. Les tiges s’entrelacent au sol et tissent ainsi un grand panier pour les abriter.
Elle lève ses yeux sur lui et remonte son bras pour chatouiller son torse, au ras des côtes. Les tiges ont marqué sa peau. Elle tente de le cacher, les lignes rouges lui plaisent peu. Il sourit et retient son bras en l’embrassant de nouveau. Il glisse son index sous la bretelle et la retire doucement en parcourant la peau de plus en plus blanche qui se dévoile à chaque seconde.
Leurs caresses se propagent. Un blé tente de se redresser. Sa tige forme une jolie courbe juste à la lisière de son oreille là où ses cheveux s’étalent dans un filet brillant. Il l’écrase à temps.
Elle mort sa lèvre inférieure, dévoilant deux jolies dents blanches, plisse doucement ses paupières et soupire. Le vent glisse le long de son dos brillant offert au soleil. Sa joue se pose sur son ventre et chatouille le bord de son nombril. Elle attire son visage vers le sien et l’embrasse.
Ils basculent alors sur le coté, écrasant encore d’autres blés. Tout son dos est labysé et il parcourt de ses doigts chacun des fins dédales creusés entre ses épaules. Elle sourit, autant parce qu’elle est heureuse que pour la sincérité qui coule entre leur regard, lumineuse et miroitante d’or comme le sont les blés lorsque les vents les agitent en douces vaguelettes.
Une main s’écrase au milieu de tout ce calme et fait chavirer les épis. Elle sert quelques tiges entre ses doigts puis les relâche. Un long frisson circule dans tout son bras. La peau pas assez blanche pour être bronzée se monticule de petits points et puis s’apaise. Il la caresse, chassant les tiges de ses doigts pour y glisser les siens puis d’un seul mouvement remonte le long de sa peau qui frémit encore. Il trace ainsi l’angle de son épaule, butte contre la dernière bretelle, et l’embrasse. La peau est chaude et légèrement salée. Le soleil inonde leur lit entre les blés. Les tiges s’entrelacent au sol et tissent ainsi un grand panier pour les abriter.
Elle lève ses yeux sur lui et remonte son bras pour chatouiller son torse, au ras des côtes. Les tiges ont marqué sa peau. Elle tente de le cacher, les lignes rouges lui plaisent peu. Il sourit et retient son bras en l’embrassant de nouveau. Il glisse son index sous la bretelle et la retire doucement en parcourant la peau de plus en plus blanche qui se dévoile à chaque seconde.
Leurs caresses se propagent. Un blé tente de se redresser. Sa tige forme une jolie courbe juste à la lisière de son oreille là où ses cheveux s’étalent dans un filet brillant. Il l’écrase à temps.
Elle mort sa lèvre inférieure, dévoilant deux jolies dents blanches, plisse doucement ses paupières et soupire. Le vent glisse le long de son dos brillant offert au soleil. Sa joue se pose sur son ventre et chatouille le bord de son nombril. Elle attire son visage vers le sien et l’embrasse.
Ils basculent alors sur le coté, écrasant encore d’autres blés. Tout son dos est labysé et il parcourt de ses doigts chacun des fins dédales creusés entre ses épaules. Elle sourit, autant parce qu’elle est heureuse que pour la sincérité qui coule entre leur regard, lumineuse et miroitante d’or comme le sont les blés lorsque les vents les agitent en douces vaguelettes.
[L'image a été reprise d'une idée originale de Switchie]
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