[oui oui, je cherche à améliorer le référencement de mon blog. j'aimerai que lorsqu'on frappe "alyanie" chez sage-google l'adresse de ce blog soit en premier lien. malheureusement ce n'est pas toujours le cas (ça ne l'est que de chez moi, je crois, enfin, tenez-moi au courant tenterai-je presque) bon alors voilà j'ajouterai alyanie dans chaque titre, ça ira mieux comme ça, même si c'est moins joli. bon, maintenant je commence vraiment mon article :]
Je suis assise sur le bord de la baignoire. Le bord n'est pas très épais et je sens bien qu'à force je vais avoir mal aux fesses. Mais bon, la cause est bonne, je continue. J'ai une canne à pêche dans les mains. J'ai de la chance quand j'étais petite mon papa m'a appris à ferrer. Dans la vie je ferre assez souvent, disons que j'arrive à tirer les petits poissons d'argent de l'eau et je ne m'en porte pas plus mal comme ça. Au bout de mon scion il y a une ligne. Une petite ligne de celle qu'on voit souvent dans les films, avec un bouchon rouge, pour que même ceux qui ne connaissent pas bien la pêche reconnaissent l'activité. Vu que là en ce moment c'est un peu du cinoch' démocratique que je vous fais, bah j'ai pris une ligne dans ce genre. Et puis mon père ne les utilise plus depuis longtemps, je ne me mets pas en danger inutilement.
La ligne donne directement dans la gorge de la baignoire. Elle fait glouglou et a la bouche grande ouverte sur moi. J'ai mis des brosses à dent en travers, au cas où elle se mettrait à éternuer ou je ne sais quoi, que son émaille de salle de bain ne me broie pas en patte à modeler turquoise. Mon hameçon doit lui chatouiller le larynx, je l'ai fait glisser tout doucement tout doucement doucement, sans rencontrer le moindre siphon. J'ai continué à dé-mouliner et ce pendant un certain temps sans toucher le fond. Je n'avais presque plus de fils alors j'ai jugé qu'on était assez profond. Voilà, assise sur le bord de la baignoire, le derrière fendu, je me suis mise à pêcher des idées en profondeur car il trouve que ça me manque un peu en ce moment.
J'ai commencé à me dire que j'étais peut-être amoureuse d'un aviateur. Il fait parti de ce genre de gens qui savent arracher des plumes aux histoires pour se faire une voile et passer par dessus les Monts Quatrièmétages. J'ai des idées de me saouler aux Mon Chéri ® ça serait drôle. Alors j'achèterai des boites et des boites des ces chocolats, et puis avec un casse-noix je récupérai leur jus. Dans un grand alambic je le distillerai pour faire styyyyle et je m'en servirai des verres et des verres de Mon Chéri ®. J'espère qu'il aura une jolie couleur carmin et qu'il me brulera la gorge, comme me brule la gorge les thés trop chauds. Oui, j'aime vivre pour ce qu'il y a de meilleure liqueur. Mes rêves sont suffisamment biensaillants pour tous être tentés.
Je remonte un peu ma ligne. J'ai envie d'acheter. Je suis allée à carrefour avec le porte monnaie de ma maman, et ma maman avec, j'ai acheté des pâtes et puis je suis tombée sur un bac de soldes. C'est moche un bac de soldes comme on ne peut pas se l'imaginer ! Des gens pianotaient autour avec des airs de fanatiques reposés. Je pousse le monde d'un large coup de pneumonie (oui, je suis malade, artriculique aigue je crois qu'il a dit le médecin) et puis je me mets moi aussi à farfouiller dans la mélasse. Ce sont des bas, tous trop grands pour moi. Je fais pfft en souriant à toutes les grosses vaches autour de moi (ahah !) et puis je repars avec mes nouilles. Tenez, je prendrais bien du beurre de cacahuète.
Il y a plein d'autres trucs à pêcher. Le ventre de ma baignoire est large, encore plus de sa bouche que je remplis de salive et que je me plains parce que j'ai oublié ma boule aux confettis, je sens bien qu'elle est pleine. Je discute dans des yeux brillants car les miens étincellent. Je m'interroge... Me demande si finalement ça ne menait pas à rien tout ça, toute cette baignoire. Ils m'assurent que non les yeux, ça me plait. Surtout quand ça vient de l'aviateur ! Oui, l'aviateur, toujours. Je crains qu'il ne devienne une bonne part de monde extérieur.
Je suis assise sur le bord de la baignoire. Le bord n'est pas très épais et je sens bien qu'à force je vais avoir mal aux fesses. Mais bon, la cause est bonne, je continue. J'ai une canne à pêche dans les mains. J'ai de la chance quand j'étais petite mon papa m'a appris à ferrer. Dans la vie je ferre assez souvent, disons que j'arrive à tirer les petits poissons d'argent de l'eau et je ne m'en porte pas plus mal comme ça. Au bout de mon scion il y a une ligne. Une petite ligne de celle qu'on voit souvent dans les films, avec un bouchon rouge, pour que même ceux qui ne connaissent pas bien la pêche reconnaissent l'activité. Vu que là en ce moment c'est un peu du cinoch' démocratique que je vous fais, bah j'ai pris une ligne dans ce genre. Et puis mon père ne les utilise plus depuis longtemps, je ne me mets pas en danger inutilement.
La ligne donne directement dans la gorge de la baignoire. Elle fait glouglou et a la bouche grande ouverte sur moi. J'ai mis des brosses à dent en travers, au cas où elle se mettrait à éternuer ou je ne sais quoi, que son émaille de salle de bain ne me broie pas en patte à modeler turquoise. Mon hameçon doit lui chatouiller le larynx, je l'ai fait glisser tout doucement tout doucement doucement, sans rencontrer le moindre siphon. J'ai continué à dé-mouliner et ce pendant un certain temps sans toucher le fond. Je n'avais presque plus de fils alors j'ai jugé qu'on était assez profond. Voilà, assise sur le bord de la baignoire, le derrière fendu, je me suis mise à pêcher des idées en profondeur car il trouve que ça me manque un peu en ce moment.
J'ai commencé à me dire que j'étais peut-être amoureuse d'un aviateur. Il fait parti de ce genre de gens qui savent arracher des plumes aux histoires pour se faire une voile et passer par dessus les Monts Quatrièmétages. J'ai des idées de me saouler aux Mon Chéri ® ça serait drôle. Alors j'achèterai des boites et des boites des ces chocolats, et puis avec un casse-noix je récupérai leur jus. Dans un grand alambic je le distillerai pour faire styyyyle et je m'en servirai des verres et des verres de Mon Chéri ®. J'espère qu'il aura une jolie couleur carmin et qu'il me brulera la gorge, comme me brule la gorge les thés trop chauds. Oui, j'aime vivre pour ce qu'il y a de meilleure liqueur. Mes rêves sont suffisamment biensaillants pour tous être tentés.
Je remonte un peu ma ligne. J'ai envie d'acheter. Je suis allée à carrefour avec le porte monnaie de ma maman, et ma maman avec, j'ai acheté des pâtes et puis je suis tombée sur un bac de soldes. C'est moche un bac de soldes comme on ne peut pas se l'imaginer ! Des gens pianotaient autour avec des airs de fanatiques reposés. Je pousse le monde d'un large coup de pneumonie (oui, je suis malade, artriculique aigue je crois qu'il a dit le médecin) et puis je me mets moi aussi à farfouiller dans la mélasse. Ce sont des bas, tous trop grands pour moi. Je fais pfft en souriant à toutes les grosses vaches autour de moi (ahah !) et puis je repars avec mes nouilles. Tenez, je prendrais bien du beurre de cacahuète.
Il y a plein d'autres trucs à pêcher. Le ventre de ma baignoire est large, encore plus de sa bouche que je remplis de salive et que je me plains parce que j'ai oublié ma boule aux confettis, je sens bien qu'elle est pleine. Je discute dans des yeux brillants car les miens étincellent. Je m'interroge... Me demande si finalement ça ne menait pas à rien tout ça, toute cette baignoire. Ils m'assurent que non les yeux, ça me plait. Surtout quand ça vient de l'aviateur ! Oui, l'aviateur, toujours. Je crains qu'il ne devienne une bonne part de monde extérieur.
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