samedi 6 septembre 2008

Le Retour des Alyanifructions !


Me revoilà dans une nouvelle terrible année d'enfer et de découvertes ! C'est exact, la motivation revient, la frustration aussi alors il faut que j'écrive, que je VOUS écrive ! C'est là que les alyanifructions arrivent... héhé ! tous les samedis !

Bon, si vous êtes déçus ne le montrez surtout pas, hein ?

Au programme pour les trois prochaines semaines : mon carnet de voyage ! Mais oui mais oui, que c'est-il passé en OutrAtlantique ? Je suis certaine que tous, autant et nombreux et qualitatifs que vous êtes, vous vous le demandez, et bien (puisque que je n'ai pas eu le courage de publier toutes mes photos) je vous propose de le découvrir ce mois-ci en trois acte !

En attendant, c'est le propre d'un blog, vous aurez quelques de mes nouvelles.

Là où je suis c'est quoi ?
Là où je suis, est un lieu tenu secret (il faut se méfier des internautes parait-il... !) tout au fond du fin fond de la France, quelque part sur un caillou de l'espace. Caillou ! Au misère, j'aurais du dire grain de sable ! Là où je suis est balloté par les vents stellaires, s'écroule sous les asseaux des sigles relativistes ou classiques. Oh oui ! Là où je suis n'est peut-être pas si bon à vivre !
Heureusement, nous sommes une équipe ultra bien équipée de 33 savants fous (presque savants) (presque fous) (non, vraiment fous) venu de partout de l'Univers pour affronter le blizzard et les blizzures.

Alors faut dire : "A vos marques, près ? Partez !"

On salut le grand Maitre, j'ai nommé le Matheux Fou Iscorbique, et nous voilà à pédaler sans relâche dans les landes polluées de désuétude.
Vous ne comprenez que dalle, les règles vous échappent ? Sachez cependant que vous n'êtes pas seuls dans cette aventure, et oui, nous aussi nous sommes perdus, nous aussi notre roue est creuvée MAIS QU'IMPORTE puisqu'il faut aller jusqu'au bout et qu'un bon chocolat chaud nous attend au milieu des neiges et la fait fondre.

Chance m'a fait signe un matin, il m'a dit "Coucou coucou" et puis c'est tout. J'étais déçue. On a traité quelqu'un d'autre que moi d'artiste, j'étais jalouse. M'enfin, c'était sur le net, alors on oublie, car quand c'est sur le net c'est toujours plus facile qu'en face. Et toc !

Pour revenir à Chance, je crois que c'est parce qu'il n'a rien trouvé de mieux à me dire. Bon, j'ai allongé un sourire, pas commencer les hostilités de si bon chemin, ça serait vraiment dommage.

Chance, j'espère qu'il m'aimera toujours, même si je perds mes fibres.

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La semaine prochaine :
Translation corporelle de 31 jours.

Youpi !

2 commentaires:

  1. Chouette ! Un article ! Chère prépateuse, tu me vois toute spagghetifiée par ton retour entre le net. Les associations mouelleuses de tes adjectifs me manquaient bien et faisaient un trou dans mon déjeuner de mots habituel. Vivement un jour ! qu'on se revoie. Ready ? Steady ? Go ! Bonne chance dans la neige.

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  2. surtout maintenant que je sais écrire mouelleux correctement !

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