Ma langue en devient brûlante ! Tu fonds sur elle, me réchauffe les joues. Je sens ton sucre acide descendre dans ma gorge. Je ferme les yeux de plaisir, jusqu'à me sentir rêver. Le papier crépite, ô misère, non ! Ne me trahie pas ! Arrête-toi là, ne me montre pas ta peau lisse et blanche, tes lignes fruités...
... finalement vient que je t'embrasse petit Arlequin, vient là ! Je veux te sentir près de moi. Je veux voir des petits hommes à échasses sautiller entre les poussières de craies du marais tableau. Oui je veux les voir ! Je veux les voir chanter entre les racines des fils électriques, je veux que l'air fleurisse. Ô mon Arlequin ! Ô toi ! Pourquoi donc fais tu tant de bruit ? Plus discret je pourrais te chatouiller le ventre, glisser mes dents contre ta peau.
Ô mon Arlequin, vois-tu comment mes yeux s'illumine lorsque tu sors doucement de tes sachets d'argent ? Je ne dirai rien à personne, je te le jures, mais viens te blottir chez moi, je ne dirai rien de ce que cache le vernis de ton sucre, je ne dirai rien sur tes secrets les plus profonds. Puis je te dirai tout ce que peut cacher ma propre peau, que tu connaitras ô petit Arlequin si tu acceptes de te frotter contre ma langue.
Oui Arlequin, je suis folle fan de toi au plus full fond de ma torpeur ! J'en perds la tête, j'en perds mon équilibres, mes latitudes ! Le temps semble filer lorsque tu es là, je ne songe qu'à te croquer pour ensuite te reprendre, petit Arlequin n'en souffre pas ! Mon coeur, c'est lui que tu nourris lorsque tu fonds sur moi, c'est lui qui explose à chaque fois que tu surgis comme une flamme !
Ne sois pas jaloux petit Arlequin, même lorsque tu restes cachés des heures dans ma poche je ne pense qu'à toi, à la façon dont je te dégusterai, dans la plus luxueuse délectation, dans le pire outrage à mon espèce, petit Arlequin bientôt tous mes rêves seront à toi. Bientôt je n'aurai que ton prénom en tête, avant de la perdre pour de bon... !
... finalement vient que je t'embrasse petit Arlequin, vient là ! Je veux te sentir près de moi. Je veux voir des petits hommes à échasses sautiller entre les poussières de craies du marais tableau. Oui je veux les voir ! Je veux les voir chanter entre les racines des fils électriques, je veux que l'air fleurisse. Ô mon Arlequin ! Ô toi ! Pourquoi donc fais tu tant de bruit ? Plus discret je pourrais te chatouiller le ventre, glisser mes dents contre ta peau.
Ô mon Arlequin, vois-tu comment mes yeux s'illumine lorsque tu sors doucement de tes sachets d'argent ? Je ne dirai rien à personne, je te le jures, mais viens te blottir chez moi, je ne dirai rien de ce que cache le vernis de ton sucre, je ne dirai rien sur tes secrets les plus profonds. Puis je te dirai tout ce que peut cacher ma propre peau, que tu connaitras ô petit Arlequin si tu acceptes de te frotter contre ma langue.
Oui Arlequin, je suis folle fan de toi au plus full fond de ma torpeur ! J'en perds la tête, j'en perds mon équilibres, mes latitudes ! Le temps semble filer lorsque tu es là, je ne songe qu'à te croquer pour ensuite te reprendre, petit Arlequin n'en souffre pas ! Mon coeur, c'est lui que tu nourris lorsque tu fonds sur moi, c'est lui qui explose à chaque fois que tu surgis comme une flamme !
Ne sois pas jaloux petit Arlequin, même lorsque tu restes cachés des heures dans ma poche je ne pense qu'à toi, à la façon dont je te dégusterai, dans la plus luxueuse délectation, dans le pire outrage à mon espèce, petit Arlequin bientôt tous mes rêves seront à toi. Bientôt je n'aurai que ton prénom en tête, avant de la perdre pour de bon... !
GRAOUUUU (commentaire non constructif)
RépondreSupprimerOh, légions d'Arlequins, venez à moi !
RépondreSupprimerOui, entrez vous réfugiez dans ma poche. Vous aurez tous droit à un entretien d'embauche pour l'estomac.
Cet anonyme sent le Cheddar... !
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