De toutes façons je m'en fous, mon téléphone il est au paradis d'abord ! Et même sans calculatrice j'ai survécu. Et même que je me suis rendue chez le docteur, dans son petit cabinet tout clair qui sent le vécu. Il entre en disant alors... avec trois petits points parce que déjà il vous scrute, insistant sur chacun de vos symptômes. Ah la la ! Petit questionnaire de rentrée, je suis parfois obligée de dire que je ne sais pas. Normal, les plis de ma mémoire sont mal repassés ! Ça l'a pas dégonflé le petit, mes je ne sais pas, car yavait po de nivernisme, alors franchement c'est plus beau et plus sérieux de dire je ne sais pas, si ?
Bientôt je m'assiérais jusqu'à en avoir les fesses plates, c'est pour ça que j'écris maintenant, avant le drame de la cacophonie. C'est que ça fait mal de se cogner la tête sur une racine, surtout lorsqu'elle est grosse. Du genre hypercubique, voir plus mais ça ne se fait pas. Le docteur ne comprend pas tout, normal, ce n'est qu'un docteur et lorsqu'il lui échape un moins au lieu d'un plus vous riiez. Jusqu'à la prochaine fois. Ce n'est jamais drole bien longtemps.
Faut dire qu'aussi il fait beau en ce moment. Le soleil n'a pas de stress, lui, il est pas du genre à plisser des yeux devant mon incompréhension convexe. Ca veut dire que je peux passer d'un point à l'autre d'un exercice sans rien y comprendre. Ca veut dire il y en a qui écrivent ie, moi ça me fait penser à internet. Je viens de comprendre pourquoi. Et il y a aussi le prof d'ici qui me fait penser à quelque chose. C'est bien rigolo les choses qui vous font penser.
Je laisse ma chanson des trois petits chats pour continuer sur une nouvelle impasse. L'agraffeuse claque des dents. Mes cours s'empifrent. Faut que je les range. Et ma jolie petite souris qui s'illumine de bleu ? Il parait qu'elle n'est pas unique, mais bon personne ne me l'a démontré encore, j'ai encore le droit d'y croire à toutes ces choses qui finalement ne se réduisent que dans mes rêves.
L'agraffeuse, elle n'est même pas à moi !
Les réjouissances ? Je récite de l'André Bretton dans l'escalier, ça remplace la voix de la SNCF et il parait que ça le fait bien avec la résonnance cathédralique. Et puis aussi on s'est acheté un arbre ! Il a de longues feuilles avec deux petites lignes roses sur chacune d'elle. Moi je l'aime déjà. Il se plait bien chez nous, et jamais un arbre n'a reçu autant de visite que le notre ! Ce fut une attraction parallèle.
Quand les gens dorment ils soupirent des congruences, et quand les gens rient c'est toujours parce que absolument drôle, plus ou moins amusant. Les maths ? Ce n'est pas notre vie, mais le contraste est flagrant, il ne fait que de m'impressionner de jour en jour. Je reste encore dans mon fantasme camp de vacances où rien n'est finalement d'importance et où l'on craint la fin du soleil et le début des feuilles d'automne. Le souffleur se mouche bruyamment les matins. C'est pénible, on ne peut plus faire la grasse matinée !
Faut dire qu'aussi il fait beau en ce moment. Le soleil n'a pas de stress, lui, il est pas du genre à plisser des yeux devant mon incompréhension convexe. Ca veut dire que je peux passer d'un point à l'autre d'un exercice sans rien y comprendre. Ca veut dire il y en a qui écrivent ie, moi ça me fait penser à internet. Je viens de comprendre pourquoi. Et il y a aussi le prof d'ici qui me fait penser à quelque chose. C'est bien rigolo les choses qui vous font penser.
Je laisse ma chanson des trois petits chats pour continuer sur une nouvelle impasse. L'agraffeuse claque des dents. Mes cours s'empifrent. Faut que je les range. Et ma jolie petite souris qui s'illumine de bleu ? Il parait qu'elle n'est pas unique, mais bon personne ne me l'a démontré encore, j'ai encore le droit d'y croire à toutes ces choses qui finalement ne se réduisent que dans mes rêves.
L'agraffeuse, elle n'est même pas à moi !
Les réjouissances ? Je récite de l'André Bretton dans l'escalier, ça remplace la voix de la SNCF et il parait que ça le fait bien avec la résonnance cathédralique. Et puis aussi on s'est acheté un arbre ! Il a de longues feuilles avec deux petites lignes roses sur chacune d'elle. Moi je l'aime déjà. Il se plait bien chez nous, et jamais un arbre n'a reçu autant de visite que le notre ! Ce fut une attraction parallèle.
Quand les gens dorment ils soupirent des congruences, et quand les gens rient c'est toujours parce que absolument drôle, plus ou moins amusant. Les maths ? Ce n'est pas notre vie, mais le contraste est flagrant, il ne fait que de m'impressionner de jour en jour. Je reste encore dans mon fantasme camp de vacances où rien n'est finalement d'importance et où l'on craint la fin du soleil et le début des feuilles d'automne. Le souffleur se mouche bruyamment les matins. C'est pénible, on ne peut plus faire la grasse matinée !
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